Publié le 13 Décembre 2013

 

 

Editorial : La démocratie : utopies et combats

 

La démocratie n’est-elle pas le meilleur système politique pour assurer, au diapason des valeurs évangéliques, le bien commun  (res publica), l’épanouissement des personnes  et l’humanisation du monde ? Inventée à Athènes au VIème siècle av. J.-C., elle renverse  les tyrans pour donner le pouvoir aux peuples, pour promouvoir la liberté et le bien-être des citoyens, et pour résoudre les conflits selon des règles concertées. Après une longue nuit dominée par toutes sortes de pouvoirs totalitaires, dont bien des théocraties, on lui prête la vocation de  réunir l’ensemble de l’humanité sous l’égide de ses idéaux. Le flambeau de la liberté que brandit  la statue d’Auguste Bartholdi à l’entrée de Manhattan est censé indiquer au monde vers quel  horizon progresser. Réaliste ou illusoire ? Question cruciale soulevée par le dossier du dernier  numéro de Parvis, car les croyances sans les œuvres ne sont que vent.

 

Incomparable force d’émancipation et de progrès, la démocratie a de fait instauré plus de liberté, de justice et de solidarité dans nos sociétés et jusqu’au bout de la planète. Proclamant l’égale dignité de tous les hommes face aux privilèges des puissants et des nantis, elle a en maints lieux réussi à organiser la participation de tous à l’exercice du pouvoir, l’accès partagé aux biens matériels et culturels, la liberté individuelle dans le respect des exigences du vivre ensemble. « Liberté, égalité, fraternité », une devise prophétique qui rappelle la révolution évangélique des débuts du christianisme -  « Il n’y a plus ni Juif ni Grec, ni esclave ni homme libre, ni homme ni femme ». Après avoir atteint les sociétés les plus lointaines dans le sillage des Lumières, cet idéal a mené à la «Déclaration universelle des droits de l’homme» adoptée par l’Assemblée générale des Nations-Unies à Paris en 1948. Immense avancée, culture nouvelle, un saut pour l’humanité.

 

Mais l’incarnation des utopies est semée d’embûches : les impostures et les crimes commis au nom des idéologies démocratiques ne se comptent pas, et même le suffrage universel peut conduire au pire. Le sang des tyrans renversés se paye trop souvent d’innombrables victimes innocentes, et de nouvelles tyrannies tentent de se substituer aux anciennes. Notre République a plongé dans la Terreur dès sa naissance ; la démocratie populaire des Soviets s’est soldée par les Grandes Purges et le Goulag ; l’Occident s’est targué de sa civilisation prétendue supérieure pour opprimer et exploiter ses colonies ; et, moyennant le marché et la finance quand ce n’est pas par les armes, les puissances aujourd’hui dominantes imposent des politiques de démocratisation dévoyées pour servir leurs intérêts. Le mépris et le cynisme, la propagande et la corruption sont partout à la manœuvre.

 

Jamais acquise, la démocratie est toujours à conquérir. Comme l’humanité de l’homme. À la fois vulnérable et souveraine, fruit d’un impossible désir et d’un laborieux enfantement, elle est grâce et combat permanent. Elle ne peut naître et se développer qu’en étant sans cesse réinventée, réformée, et défendue contre les forces qui la bafouent. Enracinée dans une inébranlable confiance en l’homme, elle a pour compagne la tolérance fondée sur le respect. Cœur et raison. La démocratie est une passion pour l’humain qui, loin de se réduire aux modalités formelles de son système de fonctionnement, transcende le politique pour sauvegarder l’homme et l’humanité. Dans la civilisation pluraliste et sécularisée qui est la nôtre et face à la globalisation barbare qui menace, les chrétiens doivent, aux côtés de tous les humanistes, servir cette cause au nom de l’Évangile dont ils se réclament.

 

Jean-Marie Kohler

 

 

Présentation du dossier : La démocratie : utopies et combats

 

Le numéro précédent posait la question : humaniser le monde est-il un projet accessible, tant sont puissantes les forces de domination, d’aliénation et de destruction qui y sont à l’œuvre ? Il interrogeait la capacités des religions – et plus largement des diverses formes de spiritualités – qui sont porteuses, au-delà de leurs particularismes, d’une même foi en la vie et en l’être humain à concourir à cette humanisation. Ce dossier s’inscrit dans la continuité ; il traite de la démocratie en tant que régime politique organisant notre vivre ensemble : la façon dont s’exerce le pouvoir contribue en effet à rendre le monde plus ou moins humain.

 

Démocratie : entre aspiration et épuisement (Lucette Bottinelli et Lucienne Gouguenheim)

De façon apparemment contradictoire nous assistons d’un côté à des processus révolutionnaires dans le monde arabe qui chassent des régimes dictatoriaux et témoignent d’une aspiration à la démocratie – sans avoir jusqu’ici réussi à en jeter les bases – et de l’autre côté à un réel essoufflement des régimes qualifiés de démocraties, par la perte de confiance des administrés dans leurs dirigeants. Le recours au processus électoral ne permet à lui seul ni d’instaurer ni de faire fonctionner une démocratie. 

 

De la source athénienne à la démocratie universelle (Jean-Bernard Jolly)

L’origine de la démocratie est athénienne : étymologiquement, la démocratie est « le pouvoir au peuple ». Dans la démocratie grecque, l’ensemble des citoyens d’une cité (les athéniens) décide des lois et réglemente la façon dont le pouvoir politique est exercé. Mais l’empire athénien s’est construit en « convertissant » à la démocratie les cités alliées. L’établissement de la démocratie par la force, alors qu’elle est pensée comme le gouvernement du peuple, est un précédent dont les conséquences pèsent encore sur une démocratie devenue  idéal universel.


Idéaux démocratiques et dérives impérialistes (Jean-Marie Kohler)

Il ne saurait y avoir de véritable démocratie lorsque le bien commun qui unit les hommes est foulé aux pieds au profit d’intérêts particuliers, lorsque les pratiques d’une nation, en son sein ou à l’extérieur, sont en contradiction avec les idéaux qu’elle proclame. Les trois exemples de la Françafrique, de l’ultranationalisme israélien et de l’hégémonie américaine illustrent cette ambiguïté.


Des citoyens lanceurs d’alertes, guetteurs d’apocalypses ? (Françoise Gaudeul)

Des hommes  bravent tous les risques pour privilégier l’intérêt général à l’exclusion de tout intérêt personnel. Ce sont les lanceurs d’alertes, les grands désobéissants de notre époque, qui révèlent dérives ou abus de pouvoir.


Formation, médias et démocratie (Georges Heichelbech)

Quel que soit le système éducatif, est-il possible de donner la même chance à tous les individus, quelle que soit leur origine sociale ?  Les médias tout en étant fondamentaux pour la démocratie sont-ils toujours une chance ou sont-ils parfois un obstacle pour elle ? Jouent-ils toujours un rôle d’information et non parfois un rôle de désinformation ?


La démocratie cognitive et la réforme de la pensée (Edgar Morin)

On dit que les réseaux et l’intégration numérique nous ont fait entrer dans « l’économie et la société de l’information ». Que les savoirs deviennent une sorte de matière première qui circule et s’échange dans le monde entier. Edgar Morin expose la difficulté qu’il y a en fait à atteindre ce à quoi vise la « démocratie cognitive » : la capacité de chacun et de la collectivité à faire des choix d’avenir et orienter son destin.


Démocratie en Europe (Lucienne Gouguenheim)

L’idée d’une solidarité entre des peuples européens libres, égaux et épris de démocratie, qui empêcherait l’émergence de nouveaux affrontements dévastateurs, a constitué un idéal très fort à la sortie de la seconde guerre mondiale. En sont issus  le Conseil de l’Europe, qui veille à l’application de la Conventioneuropéenne des droits de l’homme, et l’Union européenne qui suscite aujourd’hui un rejet croissant et apparaît comme un véritable cas d’école de dysfonctionnement de la démocratie.


L’Eglise catholique au défi de la démocratie (Jean-Paul Blatz)

La réforme de notre Eglise, voire sa reconstruction, ne peut émaner que de sa base, c’est-à-dire du peuple (de Dieu), des femmes et des hommes égaux (comme filles et fils de Dieu par le baptême et sa confirmation dans l’Esprit). Cette démocratie, instituée par le baptême, doit se vivre concrètement dans toutes les structures nécessaires au bon fonctionnement de l’Eglise.


Un enjeu politique : nouer des relations fécondes entre Démocratie et Spiritualité (Jean-Baptiste de Foucauld)

Les démocraties, pour s’accomplir pleinement, ont besoin d’une sorte d’énergie spirituelle interne. Les religions et les spiritualités doivent, symétriquement, opérer une révolution copernicienne d’acceptation et même de valorisation des démocraties. Les terrains d’exercices pour réussir cette rencontre existent.


Lucienne Gouguenheim

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Publié le 10 Novembre 2013

Editorial : Lorsque l'Eglise redevient humaine

 

La presse et la télévision s'intéressent à nouveau à l'Eglise catholique. Pas pour en dénoncer scandales et perversions. Mais pour relever les propos chocs [Le Figaro] de François, évêque de Rome, et l'aggiornamento  [Le Monde] de l'Eglise qu'il propose.

 

Que dit-il ? Que la première réforme de l'Eglise doit être celle de la manière d'être. D'être à l'écoute des femmes, des divorcés remariés, des homosexuels, des couples non mariés, des femmes ayant avorté... Finies les incantations dogmatiques et morales culpabilisatrices.

 

L'Eglise est appelée à ouvrir des chemins d'humanisation. Car pour les chrétiens, Dieu s'est fait homme. C'est-à-dire que l'humain est assez riche pour nous dire quelque chose de Dieu. L'humain est infiniment respectable puisque Dieu a voulu l'assumer. Mais Jésus a témoigné d'une certaine manière d'être humain. C'est à nous de trouver cet humanisme véritable qui est aussi un christianisme authentique.

 

Humaniser le monde, c'est la raison d'être des chrétiens. Humaniser le monde, c'est parler aux femmes et aux hommes du temps présent comme Jésus parlait à ses contemporains. Avec respect et amour. Humaniser le monde c'est être compagnons de route de tous les citoyens du monde qui s'engagent à faire respecter les doits humains.

 

Quand l'Eglise (re)devient humaine, elle est fidèle à sa doctrine sociale, au concile Vatican II et à l'Evangile.

 

J.P.B.

 

Sommaire

 

Editorial: Lorsque l'Eglise redevient humaine                   1

" La honte ! "    Jean-Paul Blatz                                    1

Une pensée n'est pas valide quand elle perd de vue l'humaine    François, évêque de Rome 5

Jésus et l'homme marié                                                11

Les diacres permanents, perdus entre hiérarchie et peuple ? Jean-Paul Blatz                             14

Désordre pastoral : le boycott des ADP par les évêques ? Marcel Metzger                               20

Bibliographie Christian de Duve. De Jésus à Jésus par Darwin                                                 22

La charte de Jonas Alsace                                23

La célébration de l'offertoire ou préparation des dons à la messe Paul Winninger          24

Bibliographie : Aloyse Kriegel. Ils ont tous un visage d'homme  26

Félicitation ! Ta eu ton bac                               27

Lettre au frère François, évêque de Rome Alice Damay-Gouin                                      28

"N'ayez pas peur" . Et après ? Marcel Metzger                                      29

En Espagne, béatification de cinq cents antirépublicains                                                          31

Les parents ont mangé du raisin vert et les dents de enfants ont été agacés Jean-Paul Blatz     33

Bibliographie Pierre Brunissen. Présence chrétienne en Turquie                                     35

Abolir le système prostituteur                           36

Je ne veux plus. Pétition                                  38

Dieu à de l'humour en Alsace.  Concours de Vierges                                        40

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Rédigé par jonasalsace

Publié dans #Vagues d'espérance

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Publié le 10 Novembre 2013

selestat2013Le 20 octobre 2013, s’est déroulée à Sélestat, la journée régionale annuelle des groupes Jonas d’Alsace. Le matin une célébration a réuni une cinquantaine de personnes. L’après-midi, Monseigneur Jacques Noyer, évêque émérite d’Amiens,

a donné sa vision d’une Eglise qui doit répondre aux besoins du monde d’aujourd’hui en témoignant de l’Amour que Dieu porte à chacun.


Question :

Jacques Noyer vous êtes évêque émérite d'Amiens et vous êtes en Alsace, répondant à l'invitation des groupes Jonas, pour faire une conférence sur le thème : L'avenir des communautés. Qu'allez-vous dire ?

 

Jacques Noyer :

Je parlerai de l'avenir de l'Eglise en essayant de faire rentrer les communautés dans cette mission de l'Eglise... L'histoire avance... Pour rester elle-même, l'Eglise doit changer. Pour rester fidèle à sa mission de toujours : annoncer au monde l'espérance. L'espérance d'un horizon de fraternité et d'amour. Et cela oblige chaque chrétien, chaque communauté, chaque diocèse et l'Eglise toute entière à changer.

 

Vous trouverez ici une interview (audio) de Monseigneur Jacques Noyer et de Marie-Antoinette Dornier présidente des groupes Jonas en Alsace

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Rédigé par jonasalsace

Publié dans #Rencontres

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Publié le 10 Novembre 2013

Editorial


Ne vivre sur terre que pour gagner le ciel, telle a été l’inhumaine obsession de beaucoup de chrétiens durant des siècles. Exilés dans la « vallée des larmes » assignée à l’humanité après l’expulsion de l’Éden, ils devaient se vouer corps et âme à la religion pour échapper au mal omniprésent et à la damnation. Comme le fruit défendu, les plaisirs terrestres véhiculaient le péché et la mort. L’unique voie menant à la félicité éternelle passait par le renoncement aux biens du monde sous la férule de l’Église. Terrifiante aliénation ! La rédemption par le sang de Jésus-Christ donnait certes accès au salut ; mais « après » et « là-haut » seulement.

 

L’Évangile avait pourtant anticipé le ciel sur la terre enannonçant que le Royaume de Dieu se réalise parmi les hommes dès que la bonté l’emporte sur l’indifférence et la haine, dès que la vérité l’emporte sur le mensonge. Et, incroyable miracle, le mal et la mort ont à jamais été vaincus sur le Golgotha par la puissance de l’amour. Même dans les épreuves et les larmes, les Béatitudes du Sermon sur la Montagne invitent à vivre heureux. Dieu n’est pas à chercher dans les cieux, mais parmi les humbles à nos côtés. Actualisant la résurrection, le « Corps du Christ » se construit au fil de l’histoire des hommes. C’est là que germe notre éternité.

 

Tributaires du monde, les Églises sont écartelées entre leurs idéaux universels et les contraintes qui les enserrent. Leurs valeurs ne peuvent s’incarner que de façon imparfaite et transitoire. S’ajoutent à cela les contradictions inhérentes aux stratégies politico-religieuses de conquête et de domination. La proclamation de l’égale dignité de tous les hommes par le christianisme n’a pas empêché cette religion d’être plus proche des puissants que des petits, ni de couvrir à son profit bien des crimes commis par les premiers. Et les ambiguïtés des autres religions ne sont pas moindres, ni leur violence quand leurs intérêts sont en jeu.

 

Il n’y a pas de monopole de la vérité et du salut, mais chaque religion offre des chemins pour s’en approcher. Alors que la modernité récuse l’archaïque dieu Tout-Puissant, les religions qui en ont fait leur idole et l’assise de leur pouvoir se découvrent orphelines et obligées de se dépasser. Inévitable et douloureux exode ! Comment avancer vers des horizons nouveaux en restant fidèle à l’essentiel transmis par le passé ? Comment, sans renier la transcendance nommée Dieu ou autrement, quitter les images obsolètes du divin ? Comment, dans notre société sécularisée et pluraliste, promouvoir l’homme sans l’idolâtrer ?

 

Par delà les légitimes particularités identitaires des religionsse profile, aube d’une possible mondialisation éthique et spirituelle, un humanisme métis à la fois universaliste et pluriel, tissé du meilleur des philosophies et des religions passées et actuelles. Congédiant les faux dieux et les prétentions des peuples élus, l’humanité a vocation à se libérer des avatars profanes du Veau d’or qui la gangrènent, à lutter pour la justice et de la paix, et à s’enrichir de toutes les cultures. « Bonne nouvelle », rêve de Dieu ou rêve de l’homme seulement, le combat pour l’humanisation du monde revêt aujourd’hui une dimension spirituelle et politique inédite.

 

Jean-Marie Kohler

 

 

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Publié dans #Livres

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Publié le 10 Avril 2013

Editorial: Le schisme silencieux

 

 

Ils parlent au nom de l'Eglise. Ils défendent une doctrine et une institution, mais ignorent l'homme. Ils imposent une idéologie qui interdit la réflexion. Ils ont des certitudes supérieures à nos convictions.

 

Du sacrement de l'ordre ils excluent les femmes. De celui du mariage ils excluent les homosexuels. Ils veulent une charité et une école catholiques pour convertir ceux qui en profitent. Ils adhèrent à l'ultralibéralisme au mépris de la justice. Ils entretiennent l'ignorance contre les connaissances humaines.

 

Ils ont des yeux mais ne voient pas le désir des hommes d'aimer et d'être aimés. Ils ont des oreilles mais n'entendent pas les cris de l'humanité. Ils disent aimer Dieu mais n'aiment pas les hommes. Ils sont plus mercenaires que bons pasteurs. Ainsi va-t-il de nombre de nos évêques. Immobiles sur le chemin où s'avance le peuple de Dieu. En dehors de lui. Indifférents à lui.

 

Un peuple de toutes races, langues, cultures et religions. Souffrant mais vivant. Cruel mais solidaire. Peuple qui lutte, et qui se révolte. Peuple en mouvement qui attend des témoins. Par nos prises de positions, nos engagements et nos actions soyons les témoins de Celui qui est tendresse, amour, justice et paix.

 

En cette période de carême, laissons-nous convertir par la parole de Dieu. Pour participer plus profondément à l'aventure du peuple de Dieu, à la nouvelle Jérusalem, qui se révèlera pleinement dans la lumière du Ressuscité.

 

J.P.B.

 


Editorial          

Le schisme silencieux.                                      1                                                                                                                               

Une ère nouvelle -pour l'Eglise catholique ?

  Réseaux du Parvis     

 

Sic transit...                                                     3         

 

Crise de la hiérarchie et du clergé.

Réflexion et actions des baptisés                     4

 

L'agonie d'un empire malade

  Olivier Bobineau                                             5

 

L'Eglise a besoin d'une réforme profonde

  Christian Terras                                              6

 

Vivre ensemble dans une Europe

multiculturelle et multireligieuse

  François Becker                                             8

 

Méditation : Père, voici ton fils                         29

 

Jeu des familles catholiques. Dans la famille

de Jésus, je demande le père

  Jean-Paul Blatz                                              30

 

Manif anti mariage pour tous. Trop c'est trop !

  Réseaux du Parvis                                          44

 

Mariage, famille pour toutes et tous, une

question d'amour et d'égalité

  David & Jonathan                                           45

 

Comme chrétiens nous manifesterons pour

le mariage pour tous

Marina Zuccon, Patrick Sanguinetti,

Elisabeth Saint-Guily, Stéphane Lavignotte        48

 

Témoignages                                                   49

 

 

La tentation du populisme

  Anne Soupa                                                   51

 

Mariage pour tous, un progrès humain

  Témoignage chrétien                                      52

 

Ne confondez pas inceste et mariage gay !

  Olivier Bobineau                                             53

 

Dieu était dans la fête

  Jean-Paul Blatz                                              54

 

Intolérable intolérance sexuelle de l'Eglise

catholique

  Olivier Py                                                      55

 

Mariage pour tous ; égalité des personnes

et des droits

  Nous sommes aussi l'Eglise                            56

 

Adoption

  Alice Damay-Gouin                                        57

 

De l'amour chrétien à l'anthropologie profane

  Olivier Roy                                                     58

 

Comme une bouteille jetée à la mer...

  Alice Damay-Gouin

 

Un mariage pour tous. Une Eglise pour tous.

Dialoguons sans invectives

 Jean-Pierre Mignard, Bernard Stephan               60

 

Le combat perdu de l'Eglise

  Danièle Hervieu-Léger                                     62

 

La prière dans les célébrations dominicales

de la Parole

  Marcel Metzger                                              64

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Rédigé par jonasalsace

Publié dans #Vagues d'espérance

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