Spécial Printemps de Jonas - Mot de la fin
Publié le 25 Septembre 2007
Voici le mot de la fin que nous a adressé Jean-Marie Bedez au nom de Jonas Alsace, lors du Printemps de Jonas 2007 :
Le colloque est terminé. De l’avis des participants ce fut un intense moment de vie fraternelle, joyeuse, féconde. Un moment de vie et de célébration ecclésiales telles que nous en rêvons. Ca fleurait bon l’Evangile, vous savez quand on ouvre à l’action de l’Esprit Saint les fruits de la terre et du travail de l’homme.
Le colloque est terminé : « allez dans la paix du Christ ». Comme en fin de messe ce n’est pas un renvoi, c’est un envoi. Des témoins nous l’ont dit : l’Evangile s’inaugure, fleurit, porte fruits partout où des femmes et des hommes au cœur évangélique en communion avec les femmes et les hommes au cœur de chair - notre bien commun - se mettent au service de l’humanité, surtout de l’humanité dépouillée de sa dignité.
Attention ! Que nos combats intra-muros n’épuisent pas nos forces pour des réformes désespérément bloquées par des institutions. Là où deux ou trois sont réunis en Son nom, là est l’Eglise, l’Eglise en sa liberté.
Et puis c’est vers Ninive, pour Ninive, que nous avons été envoyés. Ne restons pas dans la forteresse ou dans l’ombre quiète d’un ricin. Soyons du peuple qui chemine en cherchant son chemin. Annonçons-lui que le Royaume est là ! Chacune et chacun, en harmonie avec les autres, trouvera le lieu où il est compétent, où il est attendu.
Que nos paroles et nos actes dénoncent les impasses, ravigotent les découragés, annoncent la tendresse de Dieu pour les femmes et les hommes de ce temps. Malgré les apparences c’est le printemps, le printemps de Pâques. Repérons les pâquerettes, semons des pâquerettes.
Et maintenant ?
Le colloque est terminé. De l’avis des participants ce fut un intense moment de vie fraternelle, joyeuse, féconde. Un moment de vie et de célébration ecclésiales telles que nous en rêvons. Ca fleurait bon l’Evangile, vous savez quand on ouvre à l’action de l’Esprit Saint les fruits de la terre et du travail de l’homme.
Le colloque est terminé : « allez dans la paix du Christ ». Comme en fin de messe ce n’est pas un renvoi, c’est un envoi. Des témoins nous l’ont dit : l’Evangile s’inaugure, fleurit, porte fruits partout où des femmes et des hommes au cœur évangélique en communion avec les femmes et les hommes au cœur de chair - notre bien commun - se mettent au service de l’humanité, surtout de l’humanité dépouillée de sa dignité.
Attention ! Que nos combats intra-muros n’épuisent pas nos forces pour des réformes désespérément bloquées par des institutions. Là où deux ou trois sont réunis en Son nom, là est l’Eglise, l’Eglise en sa liberté.
Et puis c’est vers Ninive, pour Ninive, que nous avons été envoyés. Ne restons pas dans la forteresse ou dans l’ombre quiète d’un ricin. Soyons du peuple qui chemine en cherchant son chemin. Annonçons-lui que le Royaume est là ! Chacune et chacun, en harmonie avec les autres, trouvera le lieu où il est compétent, où il est attendu.
Que nos paroles et nos actes dénoncent les impasses, ravigotent les découragés, annoncent la tendresse de Dieu pour les femmes et les hommes de ce temps. Malgré les apparences c’est le printemps, le printemps de Pâques. Repérons les pâquerettes, semons des pâquerettes.
Le colloque est terminé… (re)commence la mission !